28 août 2007 - de Gourette à Arrens
Une petite journée s’annonce ! Youpi !
Je ne m’empresse donc pas et profite de mon hôtel particulier au maximum.
Je vois Yvan et Kevin déboucher du GR à 8h30, ils m’attendent sur la place en se reposant : une heure de descente de bon matin, ils n’ont pas aimé !
Derrière le col des Tortes, c’est une grande descende herbeuse, plutôt facile, mais on grimace tous les trois à cause des genoux…en plus il fait très chaud, on avance parce qu’il le faut, sans réel plaisir.
Allez, encore une rude montée vers le col de Saucède et une longue, longue, interminable descente vers Arrens… Les nuages noirs commencent à se former derrière nous, alors on avance, même si la faim se fait sentir ; à priori, on pourrait arriver vers 13h et déjeuner au village. Kevin rêve d’une bière et nous contamine avec cette idée. On serre tous les dents, parce que les genoux souffrent et les plantes des pieds brûlent…vive la rando !
Je ne m’empresse donc pas et profite de mon hôtel particulier au maximum.
Il fait encore beau, et je fais un check up de mes affaires sur le balcon.
Je vois Yvan et Kevin déboucher du GR à 8h30, ils m’attendent sur la place en se reposant : une heure de descente de bon matin, ils n’ont pas aimé !
On décolle à 9h, pour entamer une grosse montée ; pff, de toute façon c’est ça le GR10 : on passe son temps à passer des cols !
Derrière le col des Tortes, c’est une grande descende herbeuse, plutôt facile, mais on grimace tous les trois à cause des genoux…en plus il fait très chaud, on avance parce qu’il le faut, sans réel plaisir.
Arrivés à la route, on n’obéit pas au topo-guide, qui nous dit de descendre en face dans le vallon de l’Arbaze, puis de remonter vers la route… Nous, on reste sur la route, qui a l’avantage d’être plane ! Il fait terriblement chaud et le passage sous un tunnel, peu adapté aux piétons, est un régal de fraîcheur.
Allez, encore une rude montée vers le col de Saucède et une longue, longue, interminable descente vers Arrens… Les nuages noirs commencent à se former derrière nous, alors on avance, même si la faim se fait sentir ; à priori, on pourrait arriver vers 13h et déjeuner au village. Kevin rêve d’une bière et nous contamine avec cette idée. On serre tous les dents, parce que les genoux souffrent et les plantes des pieds brûlent…vive la rando !
On arrive enfin à Arrens, et on s’écroule à la terrasse de l’hôtel ; la patronne ne nous servira pas à manger, mais avec une boisson, on peut sortir nos provisions…
La pluie nous fait partir, mais ce n’est qu’une petite averse, et il refait beau ; une seule idée en tête : aller se poser au gite.
On trouve le gîte du Camelat, et on se paye le luxe de chambres individuelles, grand lit, chouette salle de douche toute neuve, un régal ! Repos des troupes.
Je finis par sortir me promener, à la recherche d’une cabine téléphonique. C’est vraiment le cagnard, et la conversation avec maman m’achève : la cabine en plein soleil est un sauna ! De son côté, elle est bien contente de me savoir au gîte, vu les orages qui s’annoncent…
Le soir, on aura un dîner succulent dans une ambiance très sympa…puis dodo dans un grand lit douillet